Misha you don't love me, big fucking deal,I'll never tell you how I feel
Messages : 370 Date d'inscription : 10/05/2014 Age : 26
Sujet: Et les corbeaux s'envolent [code RP] Ven 8 Mai - 15:38
Ces corbeaux qui dévorent la réalité
"Vivre heureuse" barrer la mention inutile
Il n'y avait que l'obscurité devant toi et le néant au dessus de ta tête. C'était oppressant, d'une liberté presque enivrante et le sourire tordu qui se peint sur tes lèvres sèches semble ironique. C'était comme si le monde avait laissé place à tes envies, c'était comme si le monde avait disparu pour en devenir un meilleur, comme dans tes rêves d'enfants où tu pensais recréer le monde avec tes petites mains fragiles. Tout était noir et les yeux grands ouverts tu comprends; ton rire sonne faux, ton rire s'alterne et se modifie, tu hurles et les larmes brûlent tes joues. Autour de toi il n'y avait que le néant dans cette chambre d'hôpital blanche, autour de toi il n'y avait rien que le vide et tu ne te voyais même plus. Dehors il faisait jour, dehors il faisait beau dans ce monde corrompu, mais tu ne le vois pas alors que la fenêtre est ouverte. Dehors le monde te tend ses bras meurtri mais tu les fuis; dehors le soleil brillait d'une lumière aveuglante que tu fixes sans fléchir. Tes yeux étaient secs, tes yeux étaient vide, tes yeux étaient aussi obscur que la nuit dans ta tour de cristal éphemère. Tu voulais voir le monde couler, tu voulais voir le monde se refaire, mais tu ne le verras pas. Tu ne verras plus. C'était un cri déchirant d'une indomptable douleur, une plainte brisé par un destin trop cruel. Et les corbeaux s'envolent. Il n'y avait que l'obscurité devant toi et le néant au dessus de ta tête. C'était oppressant, d'une liberté presque enivrante et le sourire tordu qui se peint sur tes lèvres sèches semble ironique. C'était comme si le monde avait laissé place à tes envies, c'était comme si le monde avait disparu pour en devenir un meilleur, comme dans tes rêves d'enfants où tu pensais recréer le monde avec tes petites mains fragiles. Tout était noir et les yeux grands ouverts tu comprends; ton rire sonne faux, ton rire s'alterne et se modifie, tu hurles et les larmes brûlent tes joues. Autour de toi il n'y avait que le néant dans cette chambre d'hôpital blanche, autour de toi il n'y avait rien que le vide et tu ne te voyais même plus. Dehors il faisait jour, dehors il faisait beau dans ce monde corrompu, mais tu ne le vois pas alors que la fenêtre est ouverte. Dehors le monde te tend ses bras meurtri mais tu les fuis; dehors le soleil brillait d'une lumière aveuglante que tu fixes sans fléchir. Tes yeux étaient secs, tes yeux étaient vide, tes yeux étaient aussi obscur que la nuit dans ta tour de cristal éphemère. Tu voulais voir le monde couler, tu voulais voir le monde se refaire, mais tu ne le verras pas. Tu ne verras plus. C'était un cri déchirant d'une indomptable douleur, une plainte brisé par un destin trop cruel. Et les corbeaux s'envolent.